Les 10 Mahavidyas – Les dix facettes de la déesse

Écrit par Pankaj Saini

En Hindouisme, si Dieu (comme Shiva) représente la Conscience… le pouvoir, la force derrière la création est la Déesse (Adi Parashakti). Dans les tantras, nous parlons de 10 Mahavidyas : les 10 manifestations de la déesse : ses 10 facettes, ses 10 sagesses qui guident le pratiquant sur la voie de l’éveil.

Sanskrit : महाविद्या, IAST : Mahāvidyā

Etymologie : Maha veut dire « grand ». Vidya signifie la connaissance, la science ou encore la sagesse.

L’origine des Mahavidyas

D’après Brihaddharma Purana (Sanskrit : बृहद्धर्म पुराण, Bṛhaddharma Purāņa) les 10 facettes de la déesse se sont manifestées ainsi :

L’épouse de Shiva, Sati, n’était rien d’autre que Adi Parashakti (la déesse suprême). Un jour, Sati entend que son père (Daksha) allait organiser un grand Yajna (sacrifice de feu) mais il n’avait invité ni elle ni son mari. Shiva et Sati se sentent insultés. Sati souhaite aller à ce Yajna quand même. Shiva lui interdit d’y aller. Mais cela met la déesse en colère. Au début, elle essaie de convaincre Shiva. Mais quand elle se rend compte que Shiva ne veut rien entendre, elle se manifeste dans 10 formes qui emprisonnent Shiva dans les 10 directions, le rendant ainsi impuissant pour l’empêcher d’aller au Yajna.

A regarder : La pratique pour l’énergie de la déesse

Les 10 Mahavidyas

Kali – l’essence de Brahman

Sanskrit : काली IAST : Kālī

La première forme que prit Sati fut celle de Kali. Dans cette forme, elle était féroce, ses cheveux détachés, sa peau noire comme la nuit et son cou paré d’une guirlande de crânes. Elle cria, et sa voix remplit les 10 directions.

Dans plusieurs écoles des Tantras, notamment les tantras de Kalikaula, Kali est vue comme l’essence de Brahman. Elle est l’énergie pure, encore à peine manifestée, et complètement débridée. Elle représente la puissance de la conscience dans sa forme la plus subtile.

Plusieurs histoires de Kali existent dans la mythologie indienne. Une en particulier est fort intéressante : celle où Kali tue le démon Raktabija. Il avait le don de se reproduire avec chaque goutte de son sang. Alors Kali le décapita avant de sortir sa langue pour boire chaque goutte de sang qui tombait de son corps, l’empêchant ainsi de se reproduire. En même temps, telle que Dakshinakali, on la voit comme une jeune femme d’incroyable beauté.

L’intérêt pour un yogi : Kali résume en elle non seulement les dualités de la vie et du cosmos, mais aussi le pouvoir de la transformation. Elle est l’essence de la non-dualité. En même temps la dualité n’est rien d’autre que sa propre manifestation. C’est la déesse du temps, et en même temps, celle qui transcende le temps.

On peut également comparer sa bataille contre Raktabija avec le chemin de Yoga pour dissoudre les vrtti (les processus et les fluctuations du mental), qui se reproduisent sans cesse, tout comme Raktabija.

Tara – La guide et la protectrice

Sanskrit : तारा IAST : Tārā

Tout comme Kali, Tara est représentée ayant les cheveux ébouriffés et portant une guirlande de crânes. Mais sa peau est de couleur bleu clair. Elle porte la peau d’un tigre, un serpent enroulé autour de son cou. Elle a trois yeux et elle porte la demi-lune comme une couronne sur sa tête.

Le mot Tara veut dire étoile. Ce mot vient de Tār qui a plusieurs significations en Sanskrit. C’est la note de la musique. C’est aussi « protéger ». Et ça veut aussi dire traverser.

L’intérêt pour un yogi : Tara est vue comme habitant les eaux cosmiques que traverse le yogi dans son chemin vers l’éveil. Mais l’eau est également symbole du sensoriel, qui est un des plus grands empêchements dans la voie de Yoga. Tara protège et guide le yogi à travers ces eaux pour l’amener à transcender son égo.

Les 10 Mahavidyas
Kali – Tara

Tripura Sundari – La plus belle des 3 mondes

Sanskrit : रिपुरसुन्दरी IAST : Tripurasundarī

Tripura signifie les trois mondes : le monde matériel, le monde transitoire et le monde divin. Sundari veut dire la beauté. Elle est aussi appelée Shodashi (la seizième) et Lalita (la gracieuse) et certains Tantras la voit comme l’aspect Tantrique de Parvati.

Souvent on traduit son nom comme « la plus belle des trois mondes ». Mais une traduction plus juste sera : « celle qui est belle dans les trois mondes ». Ces trois mondes ont une importance particulière en Hindouisme. En dehors de la mythologie, ils représentent aussi les trois niveaux de la conscience. De même, le symbolisme du triangle, qui représente Yoni (le sexe féminin), est fortement présent en elle. Tout comme la représentation des trois aspects du cosmos : la création, la maintenance et la dissolution, ainsi que les trois guna (sattva, rajas et tamas).  

L’intérêt pour un yogi : Nous sommes, dans nos quotidiens, contraint par nos préjugés : j’aime ça, je n’aime pas ça. Tripura Sundari est la manifestation d’une beauté transcendante, devant laquelle les préjugés cessent d’exister. Dans chaque forme elle est belle. Elle aide le Yogi à inverser le courant extraverti de la conscience (dû à l’évolution) en enlevant ses préjugés et ses idées reçues.

Bhuvaneshvari – La mère du cosmos

Sanskrit : भुवनेश्वरी IAST : Bhuvaneśvarī

La déesse Bhuvaneshvari a un teint doré, et trois yeux remplis de contentement. Elle porte des vêtements rouge et jaune. Son nom signifie qu’elle est le seigneur des trois monde (la terre, les mondes intermédiaires, et le monde divin). On dit que ces mondes ne sont rien d’autre que le corps de Bhuvaneshvari.

Dans la mythologie (souvent trouvée dans les écoles Shaktas de Tantra), on considère qu’au début de la création, les trois Dieux : Brahma (le créateur), Vishnu (celui qui maintient) et Shiva (celui qui va dissoudre) ne connaissaient pas encore leur place dans le cosmos. A ce moment là est apparu un chariot divin, qui les a conduits au palais de Bhuvaneshavari. Et dans un bout de son orteil, la trinité a vu des millions et des millions de cosmos, chacun avec leur propre Brahma, leur propre Shiva et leur propre Vishnu.  

L’intérêt pour un yogi : Nous ne sommes pas bien différents de la trinité : bien très souvent, on ne connait ni notre place ni notre raison d’être dans ce monde. Ainsi, dirigé par notre égo et notre mental, on commence à se dire : ça c’est à moi, ça c’est à toi. On commence à diviser. Et on rentre dans un monde d’illusions (maya). Bhuvaneshvari aide le yogi a briser ce Maya en lui montrant la réalité du cosmos.

J’aimerais également amener votre attention sur le fait que les tantras considèrent que tout n’est rien d’autre que le corps de Bhuvaneshvari. Souvent, on se dit : ça, c’est inanimé, donc on s’en fiche. Ou encore : ça c’est une plante, ça c’est un animal… et ainsi on agit différemment avec différentes parties du cosmos. Et pourtant, si tout n’était qu’une partie du corps de la déesse… est-ce que l’on agira toujours de la même façon ?

Capter Bhuvaneshvari, c’est d’aussi capter l’importance de vivre en harmonie avec la nature, de respecter tout ce qui existe, quelle que soit sa nature.

Bhairavi – La guerrière féroce

Sanskrit : भैरवी IAST : Bhairavī

Bhairavi

Traduit, son nom veut dire la terrible, la féroce. On la voit dans les cimetières, couverte de cendres. Ses trois yeux brillent comme des milliers de soleil et elle a un teint rouge, volcanique. Pourtant, de ses 4 mains, deux sont ouvertes, et dans les deux autres elle porte un chapelet (mala) et un livre !

Parfois, ces deux mains libres sont dans Abhayamudra (le mudra qui aide à sortir des peurs) et Varadamudra (le mudra pour donner les bénédictions). Son arme, le trident, montre sa manifestation et son lien avec les trois forces du cosmos.

L’intérêt pour un yogi : La voie de la sagesse n’est pas facile ! Bien trop souvent, ce sont nos peurs qui nous empêchent de poursuivre cette voie. Ainsi, nous tombons facilement dans l’ignorance. Avant tout le reste, c’est le symbolisme de Bhairavi. Elle montre qu’afin de suivre la voie de la sagesse, la voie de l’éveil, il faut avant tout conquérir et vaincre ses peurs. Ce n’est qu’après avoir transcendé les peurs générées par son apparence que l’on arrive à accéder au savoir qu’elle détient dans ses mains.

Chinnamasta – La déesse auto-décapitée

Sanskrit : छिन्नमस्ता IAST : Chinnamastā

Chinnamasta

De teint rouge, elle tient dans une de ses mains une épée recouverte de sang, et dans l’autre, sa propre tête qu’elle vient de décapiter.

D’après la légende décrite dans Sri Narada-Pancharatra, un jour la déesse Parvati se baignait dans la rivière Mandakini. Ses deux amies, Dakini et Varnini, souvent vues comme le symbole de Rajas et Tamas Guna, l’accompagnaient. Durant sa baignade, l’énergie sexuelle de Parvati montait de plus en plus, et elle devint complètement noire. Son état impactait ses amies qui commencèrent à ressentir une très grosse faim. Quand Parvati sortit de la rivière, Dakini et Varnini lui réclamèrent à manger. Parvati leur promit de leur donner à manger dès qu’elles seraient rentrées. Mais Dakini et Varnini ne voulaient rien entendre. Elles suppliaient de leur trouver quelque chose à manger.

Alors Parvati coupa sa propre tête pour nourrir ses amies de son sang.

L’intérêt pour un yogi : Chinnamasta est le symbole du sacrifice. La décapitation est vue, dans l’iconographie, comme un symbole de la libération de l’égo et des désirs générés par l’égo. Mais le symbolisme est présent tout au long de l’histoire de Chinnamasta. Les trois gunas ont également leurs couleurs : Sattva est représenté comme blanc (à vrai dire transparent, mais c’est dur de représenter la transparence !), Rajas comme rouge et Tamas comme noir.  

Parvati est souvent vue comme étant claire de peau (pour représenter sattva guna) mais durant son bain, dû à l’excitation, elle devient noire (tamas guna), ce qui change complètement ses amies. Une devient rouge (rajas guna) et l’autre devient noire (tamas guna). Mais avec son sang (prana) et son sacrifice, Parvati arrive à maitriser les deux guna, retrouvant ainsi Sattva.

Dhumavati – La déesse veuve

Sanskrit : धूमावती IAST : Dhūmāvatī

Dans Dhumavati Tantra, on décrit la déesse Dhumavati comme étant âgée, très mince, malsaine et ayant un teint pâle. Elle porte des vêtements sales et usés. Ses yeux effraient. Ses dents sont presque toutes tombées.

On dit que quand Sati, suite à des insultes reçues de la part de son père, s’est jetée dans le feu de Yajna, elle est revenue comme Dhumavati. Elle résume en elle la colère et la tristesse, et toutes les émotions négatives qu’avait senti Sati avant de s’immoler.

L’intérêt pour un yogi : On s’attache à notre corps, notre vitalité et à notre beauté. Pourtant, ce ne sont que des choses éphémères. D’un côté, Dhumavati est la représentation de la finalité de notre corps, presque comme un avertissement. De l’autre, elle représente aussi l’effet de se laisser emporter par les émotions négatives comme la haine, la colère et la tristesse.

Dhumavati reste néanmoins une partie de la Déesse. Et rien que par son apparence, elle nous avertit : si on se laisse emporter par notre partie négative, si on se laisse emporter par le Tamas, c’est ce qui nous attend.   

Bagalamukhi – Celle qui immobilise

Sanskrit : बगलामुखी IAST : Bagalāmukhī

Habillée en jaune, assis sur une Grue et d’un teint doré, Bagalamukhi est celle qui possède la capacité d’arrêter la parole et d’immobiliser le mental.  

Dans la mythologie, on parle d’un grand orage durant Satya Yug (la première ère d’après l’Hindouisme) qui allait détruire le monde. Les dieux se trouvaient impuissants pour arrêter l’orage. Alors Vishnu pria sur les rives de Haridra Sarovar (l’océan de curcuma) pour apaiser Sati. Et Sati est apparue dans sa forme de Bagalamukhi pour calmer l’orage.

L’intérêt pour un yogi : La déesse Bagalamukhi est souvent vue comme la représentation des pranayamas. L’orage dans Satya Yug représente l’effet de Rajas et Tamas sur notre mental. Ainsi les sens vont de droite à gauche et le prana est agité. Le mental lui-même subit des milliers d’émotions et tourmente le pratiquant.

Grâce au Pranayama, le yogi arrive à immobiliser ce mouvement, trouvant ainsi un état de paix, dans lequel il devient possible d’avancer dans le chemin d’éveil.

Matangi – La forme tantrique de Saraswati

Sanskrit : मातंगी IAST : Mātaṃgī

Vert émeraude dans sa couleur de peau, Matangi joue le veena (instrument de musique) et elle est souvent représentée avec un perroquet. Elle a des cheveux longs, les yeux envoutants, et un sourire charmant. Elle est vue comme la déesse des arts et de la musique, tout comme Sarasvati. Cependant, si Sarasvati représente la connaissance des Brahmin, Matangi est celle qui détient la connaissance extraordinaire : au-delà de ce qui est écrit dans les livres sacrés.

L’intérêt pour un yogi : Le veena dans les mains de Matangi est d’un intérêt particulier. Cela représente la musique ou plus exactement le Nada : le son/la vibration subtile qui est présente dans les Nadi (les canaux énergétiques) dans lequel bouge notre prana. Ainsi, elle amène l’attention du yogi sur le pouvoir des mantras.

Souvent, Matangi est vu comme « polluée » car elle n’habite pas toujours que les plans divins. Et ainsi, elle nous montre nos propres vies, tout en nous disant : ça ne fait rien ! Car le potentiel pour transcender la pollution présente dans notre quotidien est également présent en nous.

Kamalatmika – La forme tantrique de Laxmi

Sanskrit : कमलात्मिका IAST : kamalātmikā

La dernière des 10 Mahavidya, Kamalatmika est souvent représentée assise sur un lotus, tout comme Laxmi. Quatre éléphants la baignent avec amrit (le nectar d’immortalité). A première vue, cette déesse, aussi appelée Kamala, est gracieuse et belle. Mais elle est aussi Rudra (celle qui crie), Tamasi (celle couverte par l’obscurité) et Ghora (la terrible).

Elle épouse, tout comme Kali, la lumière et l’obscurité. Mais si Kali le fait telle qu’une énergie pure, l’essence même de Brahman, Kamala le fait très proche de notre propre plan d’existence.

L’intérêt pour un yogi : Le symbolisme du Lotus est particulièrement important. Le lotus pousse dans la boue. Entouré de ce qui est sale, le lotus lui-même garde sa pureté.

Kamala c’est le pratiquant qui démarre son chemin. Il est entouré de la pollution générée par Rajas et Tamas. Cependant, le potentiel pour transcender cette pollution est présente en lui. Les 4 éléphants qui baignent Kamala d’Amrit peuvent être vus comme les 4 Védas ou encore les 4 piliers de Dharma, qui nous aident à sortir de la pollution et rayonner comme le lotus.

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  • J’ apprécie cet article , je suis toujours amusée par les anecdotes rocambolesques de la mythologie hindouiste ! Merci beaucoup !

  • Très interessant merci …comme je pratique le natha yoga je suis très intéressée par le Tantra
    Grand merci à vous
    Namaste
    Claire

    • Merci Claire ! Je suis très content que ça vous a plu. Oui, je ne parle pas souvent de Tantra, mais s’il y a l’intérêt, je pourrais en parler plus !

  • Namaste Pankaj
    Merci pour ce magnifique document et la mise en perspective des Shaktis qui œuvrent dans notre laboratoire de Yogi . Encore une porte qui ouvre vers la conscience , de ce qui nous agit …..
    Comme on dit dans le midi «  je me suis régalée….. »
    Bravo à l’ équipe que vous êtes avec Camille et Christelle.
    Om Namah shivaya !
    Bertyl

  • Moi j’aime en connaître plus et le rapport avec nous (intérêt yogique).
    Si tu peux faire des articles sur la plupart des grands pujas pour tel ou tel occasions comme le mahavidya. Pas le puja en lui-même mais la mythologie, explications etc.
    Merci

  • Bonjour à tout l’équipe
    Merci beaucoup pour l’article, toujours interessant et ludique.

    Belle journée

    Omaira Ruz

  • Merci beaucoup pour cette articke très intéressant ! Plus je touche la philosophy et mythology indienne ,plus je suis facinée par sa profonfeur et beauté ….

  • J’ai eu plaisir à lire cet article. Vraiment très intéressant, tres bien documenté.
    Un grand merci

  • Merci Pankaj pour le lien que tu nous amènes à faire entre les “vertus” de ces déesses et notre pratique.
    Je m’intéresse depuis peu aux divinités hindoues…..Mon esprit encore bien cartésien est mis à rude épreuve….J’essaye de m’y retrouver entre les Dieux, leurs avatars, leurs “vertus”…..C’est passionnant, mais quelle complexité. Ton article tombe à point nommé qui m’apporte de la lumière et une nouvelle ouverture.
    Belle fin de journée à tous les trois et à la communauté yoga laboratorium…

  • Merci pour l’article, j’ai apprécié la façon avec laquelle tu as abordé le sujet. Sincérement mérite une lecture approfondie.
    Namasté

  • Merci beaucoup pour cet article passionnant.
    Un réel plaisir et une grande envie de recevoir d’avantage d’articles au sujet du tantra.
    Merci 🙏🏻

  • Moi aussi je grince des dents lorsque j’entend comment on parle du tantra. Mais je serai très interessee si VOUS ,vous nous en parliez . Merci pour tout ce que vous nous apportez.

      • Merci Panjaj,
        Vraiment fantastique de pouvoir approcher des sujets aussi complexes de façon ludique et très claire.
        J’avance en toute confiance grâce au partage de tes connaissances.
        Je n’ai jamais vraiment compris l’essence et la genèse du Tantrisme et je serais heureuse de te lire sur le sujet.
        Bonne journée à vous trois

  • Fascinant. Lecture très enrichissante. Un grand merci Pankaj pour ce partage.
    Bonne journée
    Marie-Pierre

  • Sujet très intéressant, belles explications complétées par l’intérêt pour le yogi ! Merci beaucoup pour ce merveilleux partage. Dom.

  • Bonjour
    Merci pour cet article qui m’apporte une belle notion des liens entre la philosophie hindouiste et la pratique du yoga.
    Namasté

      • Bonsoir Pankaj, merci pour cet article très intéressant qui replace le Tantra dans son origine au coeur de la sagesse indhoue. Comme toujours avec clarté et simplicité tu nous livres des clés de compréhension pour cheminer bien au-delà de notre pratique. J’attends avec intérêt de lire d’autres enseignements Tantra.
        Belle soirée 🕉
        Marie-Christine

  • Bonjour Pankaj,
    Merci pour cet article. Toutes ces formes sont à la fois fascinantes et terrifiantes. Les quelques mots que tu écris dégagent déja une certaines poésie. Il y a une beauté qui s’en dégage.
    Merci!

    • Merci Cedric ! Oui, il y a une vraie beauté dans la mythologie… et chez les déesse. Ca me rassure que malgré mes capacités d’écritures limité, ça se transmet quand même.

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